Résultat d’une augmentation mammaire avec des implants rétro-pectoraux.

Les implants mis en place sont des prothèses rondes, en gel de silicone, en position rétro-pectorale.

Les prothèses de silicone existent dans une grande variété de taille ce qui les rend adaptables à toutes les morphologies.
Le Docteur Alain Ankri discutera avec vous des critères anatomiques à prendre en compte pour une silhouette harmonieuse.
Une simulation avec des prothèses externe de différents volumes est faite lors de la consultation. Cet exercice permet de mieux visualiser et de choisir, avec le Docteur Alain Ankri, le volume adapté.

Pour de plus amples renseignements, des interrogations, consultez nos pages ou contactez le cabinet de chirurgie esthétique du Dr. Ankri à Marseille. Nous sommes à votre écoute.

Mise à jour  du 5 AVRIL 2019 :

L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Dispositifs Médicaux (ANSM) a pris la décision, par mesure de précaution, de retirer du marché des implants mammaires macrotexturés et des implants mammaires à surface recouverte de polyuréthane afin de réduire l’exposition des femmes au risque de lymphomes anaplasiques à grandes cellules (LAGC) qui reste un risque rare mais grave. A ce stade, compte-tenu de la rareté de ce risque, elle ne recommande pas d’explantation préventive pour les femmes porteuses de ces implants (Communiqué de presse ANSM du 04/04/19 :https://ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/L-ANSM-decide-par-mesure-de-precaution-de-retirer-du-marche-des-implants-mammaires-macrotextures-et-des-implants-mammaires-a-surface-recouverte-de-polyurethane-L-ANSM-ne-recommande-pas-d-explantation-preventive-pour-les-femmes-porteuses-de-ces-implants-Communique).

 

Cette décision s’inscrit également dans la continuité des travaux et investigations complémentaires menés ces dernières années sur ce sujet, notamment par l’Institut National du Cancer (INCa) et le réseau Lymphopath, et fait suite aux conclusions du groupe d’experts (CSST) qui s’est réuni à l’ANSM les 7 et 8 février 2019 afin d’émettre un avis sur la place des implants mammaires texturés en chirurgie esthétique et reconstructrice. (Avis CSST : https://ansm.sante.fr/content/download/156465/2052117/version/3/file/AVIS+du+CSST+PMI+08_02_2019.pdf

et avis INCA :https://www.e-cancer.fr/Actualites-et-evenements/Actualites/Lymphomes-anaplasiques-a-grandes-cellules-associes-a-un-implant-mammaire-l-Institut-national-du-cancer-publie-l-actualisation-des-conduites-a-tenir).

Recommandations aux femmes porteuses d’implants visés par la décision ANSM

-L’ANSM ne recommande pas l’explantation préventive pour les femmes porteuses d’implants visés par la décision de l’ANSM, conformément à l’avis d’experts publié par l’Institut national du cancer le 4 mars 2019.

Face à des signes fonctionnels ou physiques(épanchement péri-prothétique abondant, augmentation de volume, douleur, inflammation, masse, ulcération, altération de l’état général)survenant notamment à distance de la phase post-opératoire, les femmes sont invitées à se rapprocher de leur professionnel de santé référent afin d’évoquer le diagnostic éventuel de lymphomes anaplasiques à grandes cellules associés aux implants mammaires (LAGC-AIM).

-Pour les femmes porteuses d’un implant mammaire visé par la décision ANSM et sans signes cliniques évocateurs, le suivi habituel est préconisé (examen clinique annuel des seins et exploration radiologique éventuelle adaptée).

Pour identifier les implants qui leur ont été posés :

o Les femmes disposent normalement d’une carte d’implant remise à l’issue de l’intervention mentionnant l’identification de l’implant (référence/modèle d’implant), le lieu et la date de la pose, le nom du chirurgien, l’existence d’une durée de vie limitée de l’implant et l’éventuelle nécessité de ré-intervention qui en découle, ainsi que le suivi médical particulier.

O Elles sont sinon invitées à se rapprocher du chirurgien qui leur a posé les implants pour déterminer quel modèle leur a été posé.

Information des femmes porteuses d’implants

 

Elles peuvent contacter l’ANSM, au numéro vert suivant : 0 800 71 02 35.

Dans tous les cas, y compris en l’absence de signes cliniques, les femmes sont invitées à se tourner vers un professionnel de santé référent (chirurgien ayant réalisé la pose des implants, médecin traitant…).

-Enfin,des éléments d’information et de réponse sont disponibles sur le site du ministère des solidarités et de la santé(Questions – Réponses à destination des femmes porteuses d’implants mammaires

 

communiqué du 22 novembre 2018
RECOMMANDATIONS du Directoire Professionnel des Plasticiens relatives aux implants mammaires et au risque de LAGC

Prenant à la fois en compte les données scientifiques dont il dispose actuellement concernant le LAGC (lymphome anaplasique à grandes cellules), et les principes déontologiques qui régissentl’exercice de la Médecine, le Directoire Professionnel des Plasticiens réuni sous l’égide de la SoFCPRE recommande dorénavant de ne plus mettre en place d’implants mammaires à surface macro-texturée de type Biocell® de la marque Allergan® en raison de la sur-représentation de ces prothèses dans cette pathologie. Le Directoire reste prudent concernant les autres implants à surface
macro-texturée et les implants à surface recouverte de polyuréthane, pour lesquelles les travaux se poursuivent pour déterminer une éventuelle exposition au risque.

Concernant les femmes porteuses d’implants mammaires à surface macro-texturée de type Biocell®, le Directoire ne recommande pas d’explantation préventive à titre systématique, car le risque de survenue d’un LAGC est extrêmement faible.

Comme à toutes les femmes porteuses d’implants mammaires le Directoire recommande avec ses tutelles[1] une surveillance annuelle chez leur chirurgien, leur gynécologue ou leur médecin traitant (examen clinique, échographie et IRM au moindre doute).

En cas d’épanchement abondant, d’augmentation de volume, de douleur, d’inflammation, ou de toute anomalie au niveau du sein, quel que soit le moment de sa survenue ou en cas de traumatisme sur le sein, une consultation médicale est indispensable.

En l’absence d’anomalies cliniques ou radiologiques, il est toutefois inutile de modifier la fréquence et les modalités d’une surveillance annuelle.

En cas d’explantation ou de changement d’implant, des prélèvements de capsule périprothétique ou d’un éventuel épanchement devront être systématiquement effectués pour le réseau lymphopath.

Profondément soucieux de la santé de leurs patientes, les chirurgiens plasticiens français se
préoccupent depuis janvier 2011 du problème du LAGC et travaillent à cet effet en étroite collaboration avec leurs instances de tutelle (DGS, ANSM, InCA) et avec les sociétés scientifiques internationales (ASAPS).
Malgré le grand nombre d’inconnues, il apparaît aujourd’hui que la texturation de l’implant pourrait jouer un rôle important dans la survenue du LAGC. Grâce à son réseau Lymphopath unique au monde, la France a pu recenser 50 cas de LAGC de 2009 à juillet 2018. Ces cas concernaient dans la majorité des cas des implants à surface texturée. A cet égard, les chirurgiens plasticiens français avaient émis en 2017 une recommandation de prudence concernant l’utilisation des implants macrotexturés et la relativité de leur indication. Depuis lors, à la suite des conclusions des travaux commandités par l’ANSM et publiés en juillet 2018[2], on distingue les implants mammaires en 4 catégories selon la nature de leur surface : lisse, micro-texturée, macro-texturée, et recouverte de polyuréthane.

Si la France est le seul pays au monde à disposer du réseau de centres experts « lymphopath », elle est en revanche en retard dans la mise en place d’un registre national de surveillance des implants mammaires. En collaboration avec la Fédération des Spécialités Médicales (FSM) et l’ANSM, le Directoire Professionnel des Plasticiens a pourtant développé un tel registre, qui est opérationnel depuis 3 ans, mais dont la mise en application s’est malheureusement heurtée jusqu’à ce jour aux procédures administratives de la CNIL.

Si le sujet est préoccupant, il faut toutefois garder le sens de la mesure et ne pas inquiéter inutilement la population. La fréquence du LAGC est si faible que le risque est encore très difficile à quantifier.
Pour la même raison, il n’est pas possible d’identifier précisément les facteurs de risques associés à cette pathologie, qui sont vraisemblablement multiples. A côté de la texturation de surface des implants en effet, le rôle de certains microbes et le terrain génétique ont été incriminés, qui nécessitent aussi des études complémentaires.

Tant en chirurgie reconstructrice qu’en chirurgie esthétique, et lorsqu’il n’existe pas de solution alternative raisonnable, le Directoire souligne que les bénéfices apportés aux patientes par les implants mammaires sont actuellement infiniment supérieurs au risque de LAGC.

 

Pour le Directoire Professionnel des Plasticiens, le 22 novembre 2018
Catherine BRUANT-RODIER, Présidente de la SoFCPRE et de la section 50 du CNU
Gilbert VITALE, Président de la SoFCEP
Véronique MARTINOT-DUQUENNOY, Présidente du Collège
Sébastien GARSON, Président du Syndicat et de l’OA Plastirisq
Stéphane de MORTILLET, Secrétaire du chapitre de sénologie-oncoplastie de la SoFCPRE
Marc REVOL, Secrétaire Général de la SoFCPRE
Michet ROUIF, Secrétaire Général de la SoFCEP
Richard ABS, Secrétaire Général du Syndicat et Secrétaire du chapitre d’esthétique de la SoFCPRE
Eric ARNAUD, Secrétaire Général du Collège et de l’OA Plastirisq
[1] Document sur solidarites-sante.gouv.fr
[2] Document sur www.ansm.sante.fr

Vous habitez à Cannes et vous vous poser une question : comment faire grossir sa poitrine avec le recours à la chirurgie esthétique ?

Pourquoi un cabinet de chirurgie esthétique spécialisé dans la chirurgie du sein pour faire grossir sa poitrine ?

Pour faire rendre sa poitrine plus volumineuse, rien ne vaut l’expertise et le professionnalisme d’un chirurgien spécialisé dans ce type d’intervention.

Quand un femme s’engage dans une démarche visant à faire grossir sa poitrine, elle a besoin d’être conseillée sur le meilleur choix de prothèse pour arriver au résultat voulu, d’être accompagnée tout au long de sa démarche jusqu’au suivi post-opératoire et d’être certaine qu’elle ne met pas sa santé en danger.

Un cabinet de chirurgie esthétique spécialiste de la chirurgie de la poitrine vous apportera l’assurance d’un accompagnement et d’un conseil adaptés à vos besoins et vos désirs pour remodeler votre corps avec un résultat en accord à vos attentes et en toute sécurité.

Où trouver un spécialiste de l’augmentation mammaire à 2h00 de Cannes ?

Si vous êtes dans le secteur de Cannes, vous pouvez contacter le cabinet de chirurgie esthétique du Docteur Alain Ankri.

Notre Cabinet de Marseille offre l’expertise, le conseil et l’accompagnement qui font le succès de nos interventions et la satisfaction de nos patientes.

Nous sommes spécialisés dans la chirurgie du sein et l’augmentation mammaire. Avec plus de 20 ans d’expérience et de nombreuses patientes satisfaites, nous offrons tout l’accompagnement nécessaire au remodelage de vos seins.

Pour toute demande d’information, une question ou une demande de rendez-vous, notre service de secrétariat médical est à votre écoute pour répondre à vos interrogations : contactez nous !

Les suites immédiates sont marquées par des sensations de tiraillement, des œdèmes et des ecchymoses qui disparaissent au cours de la première semaine suivant l’intervention. Les efforts physiques doivent être limités dans un premier temps.

Certaines femmes rapportent des troubles de sensibilité du mamelon qui peuvent durer plusieurs semaines.

Les fils seront enlevés entre le 15ème et le 20ème jour post-opératoire.

Il est important de souligner que les prothèses mammaires n’affectent pas la fertilité de la femme. Il est cependant conseillé de se faire opérer de 6 mois à 1 an après un accouchement.

Le port d’un soutien-gorge de contention peut être prescrit pour une durée de 1 à 2 mois.

L’intervention n’est pas douloureuse en elle-même mais nécessite une période de repos d’environ une dizaine de jours.

Les suites opératoires immédiates sont marquées par quelques ecchymoses et par une légère sensation de tension elles s’estompent au bout de 3 ou 4 jours.

Le changement de pansement est effectué toutes les semaines jusqu’à la 3eme semaine pour l’ablation des points.

Il faudra ensuite porter un soutien-gorge de contention pendant une durée de 6 semaines, jour et nuit. La cicatrice résultant de cette intervention est classiquement en « ancre de marine » ou en verticale pure selon la quantité de glande mammaire à retirer.

A long terme : la sensibilité du mamelon peut se trouver diminuée durant les premiers mois qui suivent l’intervention mais elle réapparait progressivement. L’allaitement reste possible.

Le résultat final de la forme du sein sera apprécié au bout d’environ 6 mois, par contre, l’amélioration de la cicatrice nécessitera de 1 à 2 ans et s’estompera au fil des mois.

L’allaitement après la pose de prothèses mammaires, comment ça se passe ?

Nombreuses sont les femmes (et leur mari d’ailleurs) qui se demandent si une fois les prothèses posées, elles pourront allaiter leur progéniture. La réponse, le cabinet esthétique Ankri à Marseille vous la donne.

 

Prothèses mammaires et allaitement

Les prothèses mammaires n’empêchent pas l’allaitement, tout simplement parce que les glandes mammaires et leurs canaux sont préservés. Toutefois, il faut savoir qu’une éventuelle grossesse ne peut être envisagée qu’à partir du 6ème mois après l’intervention de chirurgie mammaire.
Pour plus de précisions, n’hésitez pas à contacter le chirurgien plasticien Rue Paradis, Dr Alain Ankri.

Avant d’avoir recours à la pose d’implants mammaires, le Dr ANKRI évoquera les points suivants au cours d’une consultation qui dure environ 45 minutes :

  • Les indications et contre-indications,
  • Les détails sur l’opération, les risques liés à l’anesthésie,
  • Les effets immédiats suite à l’intervention chirurgicale,
  • Les effets locaux à moyen et long terme,
  • Les risques associés à la pose d’implants,
  • Le suivi médical et la fréquence des consultations de contrôle,
  • Pour l’avenir, ce que la présence d’implants mammaires implique en termes de dépistage de pathologies mammaires (examen clinique et mammographique),
  • L’allaitement,
  • Les informations à conserver,
  • Les détails sur la réintervention en cas de complications ou de changement d’implants.

Des craintes pour vos implants mammaires ? Rassurez-vous, vous aurez des signes !

La crainte des femmes au sujet des implants mammaires réside souvent dans le fait qu’elles ont peur de ne pas savoir si tout s’y passe bien.

Si vous avez des prothèses remplies de sérum physiologique, la taille du sein va diminuer aussitôt en cas de rupture. En fait, le sérum physiologique contenu dans l’implant sera absorbé par le corps, puis évacué par les urines.

Dans le cas des prothèses remplies de gel de silicone, il est recommandé d’avoir une surveillance médicale régulière car ce sera une mammographie ou une échographie qui pourra mettre en évidence une rupture éventuelle de l’implant. Si toutefois des doutes subsistent, une IRM ou un scanner peut être demandé par votre chirurgien.